Le programme Erasmus+ est un programme d’échanges d’étudiants, d’enseignants ou de personnel éducatif, de stagiaires voulant acquérir une expérience professionnelle, de bénévoles, de professionnels du secteur jeunesse. Au départ, le programme Erasmus permettait seulement aux étudiants de suivre une année de cours à l’étranger. Aujourd'hui il touche aussi des élèves du primaire, du secondaire, des lycées professionnels, des apprentis, demandeurs d'emploi, entre autres. Depuis 2014, le programme est devenu Erasmus+.

Cette formation, destinée aux travailleurs de jeunesse, vise à explorer des méthodes concrètes de gestion de la diversité et servira d’espace pour explorer divers types de diversité. Envoyez votre candidature jusqu'au 15 janvier 2017 !

Wallonie-Bruxelles International (WBI) permet à un jeune diplômé ou encore étudiant de la Fédération Wallonie-Bruxelles de suivre un stage linguistique organisé durant l’été en vue de se familiariser ou de se perfectionner dans une langue étrangère. Ces bourses sont allouées dans le cadre de la mise en œuvre d'accords de coopération intergouvernementaux.

Destiné à favoriser la mobilité des jeunes en Europe, “Your first EURES job – A tool for mobility” s’adresse aux jeunes européens de 18 à 35 ans et aux PME qui les recrutent.
1 800 aides financières pour se rendre à un entretien d’embauche ou déménager dans un autre pays européen, suivre des cours de langue ou valider ses compétences, 300 aides aux PMEs pour faciliter l’intégration des jeunes en entreprise.

Le « Guide des bonnes pratiques en matière de reconnaissance académique des crédits acquis en mobilité » de l’AEF et l’ARES a été mis à jour.
En 2016, au vu de l’évolution du contexte de l’enseignement supérieur, la nécessité d’une nouvelle mise à jour s’est imposée et ce afin de tenir compte des nouveautés liées :

En ce qui concerne l’ouverture du droit au chômage, depuis le 1er octobre 2016, le travail effectué à l'étranger n'est pris en considération que dans les limites des conventions bilatérales et internationales et pour autant que le travailleur ait, après le travail effectué à l'étranger, accompli des périodes de travail comme salarié selon la réglementation belge, pendant au moins trois mois.